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Biocontrôle : IBMA France se mobilise pour une réglementation « adaptée »

Marc Fesneau, ministre de l'Agriculture, et Céline Barthet, présidente d'IBMA France, sont revenus, à l'occasion des dixièmes rencontres du biocontrôle, mardi 16 janvier au Sival, à Angers, sur les leviers actionnés pour accélérer le déploiement du biocontrôle.
Marc Fesneau, ministre de l'Agriculture, et Céline Barthet, présidente d'IBMA France, sont revenus, à l'occasion des dixièmes rencontres du biocontrôle, mardi 16 janvier au Sival, à Angers, sur les leviers actionnés pour accélérer le déploiement du biocontrôle. ©Mathilde Soulé

Lors des dixièmes rencontres annuelles du biocontrôle, mardi 16 janvier au Sival, IBMA France a réaffirmé son objectif d’atteindre les 30 % de biocontrôle à l’horizon 2030 et a insisté sur la nécessité d’avoir une définition européenne pour y parvenir.

L’association française des entreprises de produits de biocontrôle, IBMA France, a annoncé, à l’occasion de ses dixièmes rencontres annuelles, mardi 16 janvier au Sival, à Angers (Maine-et-Loire), qu’elle maintenait son cap : 30 % de biocontrôle d’ici 2030. Si, en 2022, le biocontrôle ne représentait que 10 % de la protection des plantes, IBMA France compte sur quatre leviers (les pouvoirs publics et la réglementation, la formation, la R&D et l’information) pour le faire progresser.

Une définition européenne nécessaire

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