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Quelle feuille de route pour décarboner les filières céréalières ?

« Aucun scénario ne permet d’avoir à la fois un stockage du carbone et des réductions d’émissions sans changer le coût pour les producteurs », analysait Anthony Uijttewaal, chef du service Agronomie, économie et environnement chez Arvalis, jeudi 7 novembre, aux JTIC, à La Rochelle.
« Aucun scénario ne permet d’avoir à la fois un stockage du carbone et des réductions d’émissions sans changer le coût pour les producteurs », analysait Anthony Uijttewaal, chef du service Agronomie, économie et environnement chez Arvalis, jeudi 7 novembre, aux JTIC, à La Rochelle. © Marie HILARY

À l’occasion des Journées techniques des industries céréalières (JTIC), qui se sont déroulées à La Rochelle (Charente-Maritime) début novembre, une table ronde sur la décarbonation des filières a été organisée.

La troisième version de la Stratégie nationale bas carbone (SNBC), actuellement en concertation publique, prévoit de revoir l’objectif de décarbonation à la hausse, -22 % contre -18 % initialement, ainsi qu’un stockage du carbone souhaité de 34 Mt eq CO2 contre 12 Mt eq CO2 en 2019.

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