Afin d'anticiper le départ à la retraite de nombreux salariés et de répondre à une forte hausse des productions de semences (+ 30 % de surfaces cette année), Vivadour avait lancé en mai 2011 un grand plan de recrutement de 150 personnes sur trois ans. Un an et 49 embauches plus tard, le groupe gersois s'aperçoit qu'il lui est très difficile de trouver preneur pour ses CDI. « Les métiers pour lesquels nous recrutons sont souvent méconnus, nous devons être inventifs pour informer sur nos besoins, explique Marie-Claire Poussade, directrice des ressources humaines. De plus, les jeunes hésitent à venir s'installer dans le Gers, très rural, alors que la vie y est très agréable. » En un an, Vivadour a embauché des conseillers technico-commerciaux, un directeur scientifique, une qualiticienne et a mis huit mois à trouver un conducteur de silo. Chaque recrutement est généralement suivi de nombreuses heures de formation interne ou en alternance.
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MIDI-PYRÉNÉES Vivadour recrute cent personnes
Le groupe gersois peine à trouver preneur pour cent postes très divers en CDI, malgré une grande campagne de recrutement.
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