Le 18 novembre, avec de nombreux autres acteurs du monde agricole, vous vous êtes penchés sur la question de la responsabilité de la communication dans l'échec des OGM en France. Qu'en est-il ressorti ? Globalement, je pense pouvoir dire que nous avons tous été d'accord sur le fait que la communication a été désastreuse, chez les " pro " comme chez les " anti ". D'un côté, les firmes n'ont pas forcément communiqué de façon simple et complète sur le sujet, et de l'autre, les " anti " ont surtout joué sur le registre émotionnel, faisant valoir " le bon sens paysan ", créateur d'empathie auprès du grand public. De plus, la communication scientifique telle qu'elle a été faite était inintelligible pour le grand public.
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ECHEC DES OGM/JEAN-FRANÇOIS LAUNAY, directeur de la communication de l'Inra " La recherche publique aurait dû avoir un rôle plus explicatif "
Lors de l'agora organisée par Syntec RP (1), la communication a été mise en cause.
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