Sur les cinq usines que compte Nutréa, Eureden va reprendre les sites de Languidic (photo), dans le Morbihan, de Plouagat et Plouisy, dans les Côtes-d'Armor, et Terrena ceux de Louvigné-du-Désert (Ille-et-Vilaine) et de Landemont (Maine-et-Loire).
Sur les cinq usines que compte Nutréa, Eureden va reprendre les sites de Languidic (photo), dans le Morbihan, de Plouagat et Plouisy, dans les Côtes-d'Armor, et Terrena ceux de Louvigné-du-Désert (Ille-et-Vilaine) et de Landemont (Maine-et-Loire). ©Eureden

Face au recul des volumes de production, une restructuration du paysage est engagée. En outre, l’exportation offre des opportunités croissantes pour faire valoir des solutions made in France.

Sans que les annonces de fermeture d’usines ne se multiplient malgré la baisse des tonnages déjà à l’œuvre, 2023 a connu quelques restructurations. Ainsi, Eureden et Terrena scindent leur filiale Nutréa après treize ans d’actionnariat partagé. Terrena va reprendre les sites de Landemont (Maine-et-Loire) et de Louvigné-du-Désert (Ille-et-Vilaine) à partir du 1er janvier 2024, ainsi que l’ensemble de l’activité lapin. Les autres sites bretons (Plouagat, Plouisy, Languidic, Cléden et Carhaix) restent sous la bannière Nutréa dont Eureden est actionnaire à 100 %.

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