Qu’ils s’appellent Andros, Danone ou McDonald’s, de grands groupes agroalimentaires affichent leur engagement dans l’agriculture régénératrice ou l’agroécologie. L’aval est essentiel pour avancer. « Certes, on a besoin d’humain, de formation, mais pour changer d’échelle, il faut que les filières et les modèles économiques évoluent dans ce sens », estime Claire Zwilling Crécy (Valfrance).
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L’aval, un moteur à orienter
L’implication des groupes agroalimentaires permet de faire avancer toute la filière, mais les intervenants ont soulevé l’importance de bien échanger en amont pour éviter les cahiers des charges inadaptés.
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