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« Les protéines végétales, c’est très très difficile », admet Limagrain

Culture de lentilles et de blé dur en plaine de Limagne. © J. CHABANNE
Culture de lentilles et de blé dur en plaine de Limagne. © J. CHABANNE

Le groupe coopératif auvergnat Limagrain compte sur l’amélioration génétique pour obtenir des résultats au champ concernant la production de légumineuses. Une condition avant d’investir davantage vers l’aval.

Alors que Limagrain prenait une posture audacieuse sur les légumineuses au printemps dernier, le groupe auvergnat semble plus réservé aujourd’hui : « On n’arrive pas dans les champs à obtenir les résultats escomptés, a jugé Sébastien Vidal, président de Limagrain, lors de sa conférence de presse annuelle, jeudi 13 janvier. C’est très très difficile. Aujourd’hui, on dit aux agriculteurs, faites des protéines végétales. OK, sauf qu’on prend le flux génétique d’il y a quarante ou cinquante ans, avec un contexte pédoclimatique différent, et on est en train d’intégrer ces cultures-là sur nos fermes. Et en définitive, on fait le constat qu’on a des difficultés à les produire. »

Faire travailler ensemble les recherches publique et privée

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