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Blé dur Une dynamique qui se fait attendre

Champs de blé dur en Limagne.
Champs de blé dur en Limagne. ©J. CHABANNE

Le marché mondial du blé dur est, cette année encore, tendu. Conséquence : les cours sont plutôt élevés. Ce qui n'empêche pas les surfaces de diminuer en France. D'où la nécessité pour la filière de mettre à exécution son plan stratégique.

Pour la deuxième année consécutive, le marché du blé dur est « sous tension ». Comme l'a expliqué Yannick Carel, chargé d'études économiques chez Arvalis, lors de la 25e journée de la filière à Labège (Haute-Garonne), le 1er février, cette situation est due à des niveaux de stocks prévus, fin juin 2023, « au plus bas depuis quinze ans ».  Ces stocks devraient s'établir autour de 24 % de la consommation, « alors qu'on est d'habitude autour de 31 % », reprend le spécialiste. De fait, se félicite Albert Mathieu, directeur général de Panzani, « le marché des pâtes alimentaires est dynamique. Sur le dernier trimestre 2022, il a augmenté de 3 à 4 %, voire de 10 % en décembre ! »

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