Encore trop de visites à l’improviste, de ton directif, de manque d’écoute dans la relation à l’agriculteur qui finit par être agacé. Pour éviter la dégradation de cette relation, l’entreprise doit donner priorité à la montée en compétences de ses équipes terrain.
Il est temps d’élever le niveau d’exigence vis-à-vis des démarches de relation entre TC et agriculteurs. On vit encore sur le terrain des visites sans rendez-vous qui exaspèrent les meilleurs agriculteurs. Ou encore, des visites en prospection lors desquelles, au bout de trois questions, le TC explique à l’agriculteur que ce qu’il fait est mauvais… La médiocrité de ces approches fait peur.
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