Adèle, une étudiante d’UniLaSalle à la Cop 27

Adèle Le Badezet, à Charm el-Cheikh, en novembre dernier : « La rencontre avec de nombreuses personnalités, les échanges avec des membres des délégations, le fait de vivre la Cop 27 de l’intérieur… ont fait que j’ai été extrêmement contente d’avoir eu cette opportunité. »
Adèle Le Badezet, à Charm el-Cheikh, en novembre dernier : « La rencontre avec de nombreuses personnalités, les échanges avec des membres des délégations, le fait de vivre la Cop 27 de l’intérieur… ont fait que j’ai été extrêmement contente d’avoir eu cette opportunité. »

L’école d’ingénieurs UniLaSalle a permis à l’une de ses étudiantes en Génie de l’environnement, Adèle Le Badezet, de se rendre en Égypte du 8 au 18 novembre pour participer à la Cop 27. Elle démontre ainsi son implication pour former les jeunes aux enjeux climatiques tout en déployant son concept One Health.

Comme une quarantaine d’autres jeunes français. Adèle Le Badezet, étudiante en deuxième année à UniLaSalle en Génie de l’environnement, a été officiellement accréditée pour participer en tant qu’observatrice à la Cop 27, qui s’est déroulée du 8 au 18 novembre à Charm el-Cheikh, en Égypte. Accompagnée d’un salarié d’UniLaSalle, elle a été sélectionnée pour son engagement dans l’environnement et la lutte contre le réchauffement climatique.

Beaucoup de rencontres et d’échanges

« La rencontre avec de nombreuses personnalités, les échanges avec des membres des délégations, le fait de vivre la Cop 27 de l’intérieur… ont fait que j’ai été extrêmement contente d’avoir eu cette opportunité, nous confie la jeune étudiante. J’ai eu personnellement l’occasion de dialoguer avec des eurodéputés et députés français, avec Barbara Pompili, ancienne ministre de l’Environnement, avec des climatologues… et des membres des délégations françaises et étrangères. » Elle a cependant un regret, l’impression de ne pas être écoutée. « Je pensais que lors des discussions, nous aurions pu, nous les jeunes, être écoutés, qu’on solliciterait notre avis, mais il n’en a rien été. »

Un rendu quotidien

Pendant les dix jours passés sur place, elle a résumé quotidiennement ce qu’elle avait vécu sur les pages Instagram et Facebook de « Cop Trotter by UniLaSalle - EME ». Elle a envoyé des courriels, préparé des articles et réalisé deux conférences à son retour. Et là, elle a eu la satisfaction de voir qu’elle avait réussi à sensibiliser de nombreux étudiants d’UniLaSalle aux enjeux du réchauffement climatiques. « Je pense que sans notre présence sur place et le fait de fournir des informations régulièrement, ils s’y seraient beaucoup moins intéressés. »

Un projet d’école

« L’institut polytechnique UniLaSalle qui forme les professionnels et citoyens de demain, qui s’inscrit au cœur des enjeux de transition écologique, dessine une nouvelle génération de grande école, qui unit les sciences du vivant, de la terre, de l’environnement et de l’énergie aux sciences industrielles et aux technologies du numérique », souligne Philippe Choquet, directeur d’UniLaSalle et président de la Fédération des établissements d'enseignement supérieur d'intérêt collectif.

Le concept « One Health »

Convaincu que les solutions aux défis humains et planétaires se trouvent à la croisée des disciplines, UniLaSalle offre une large transversalité dans ses formations, allant de la géologie à l’agronomie en passant par les métiers de la santé avec la formation vétérinaire et la formation en alimentation et santé, ou encore de l’environnement, du numérique et de l’énergie. « La santé de l’homme dépend de l’aliment et la santé de l’aliment, du sol qui lui-même est lié à la santé de l’environnement, indique le directeur. On doit être aujourd’hui dans une approche systémique, on parle du concept “One Health” (une seule santé). Nous sommes la seule école en France à couvrir un champ si large en Life Sciences. »  

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