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Trois cultures en deux ans, « c’est possible, mais… »

« Je suis persuadé que c'est l'avenir ! », s'est exclamé Hubert Deltrieu, céréalier et vigneron à Carcassonne, à propos des cultures dérobées, lors de la restitution du projet « 3 cultures en 2 ans », mercredi 31 mai à Auzeville-Tolosane (Haute-Garonne).
« Je suis persuadé que c'est l'avenir ! », s'est exclamé Hubert Deltrieu, céréalier et vigneron à Carcassonne, à propos des cultures dérobées, lors de la restitution du projet « 3 cultures en 2 ans », mercredi 31 mai à Auzeville-Tolosane (Haute-Garonne). ©C. ZOIA

Mercredi 31 mai avait lieu la restitution du projet « 3 cultures en 2 ans », mené par les chambres régionales d’agriculture d’Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine depuis 2019, et auquel étaient associées Arterris et Océalia.

Mener trois cultures en deux ans, cela peut être intéressant, mais il y a des conditions. C’est, en quelque sorte, ce qu’il faut retenir des échanges du 31 mai, à Auzeville-Tolosane (Haute-Garonne), lors de la restitution du projet Casdar « 3 cultures en 2 ans », piloté depuis 2019 par les chambres régionales d’agriculture d’Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine, avec le concours d’Arvalis, de Terres Inovia, de l'Inrae, d’Arterris et d'Océalia.

Des intérêts économiques et environnementaux

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