La France pourrait-elle s’appuyer sur la feuille de route de décarbonation de son secteur des engrais, pour investir en même temps dans sa souveraineté en matière de fertilisants ? C’est en tout cas la ligne directrice tenue par le président de la République lui-même avec la volonté politique affichée d’atteindre 51 % d’autonomie à l’horizon 2030, selon des annonces détaillées lors de l’assemblée générale de l’Unifa (l’Union des industries de la fertilisation), jeudi 1er juin à Paris.

L’État français souhaite retrouver une certaine souveraineté en matière de production d’engrais à l’horizon 2027, selon des informations étayées au cours de l’assemblée générale de l’Unifa, jeudi 1er juin.
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