Il n’est pas fréquent de parler de cultures à bas niveaux d’intrants dans les régions du grand nord de la France. C’est pourtant à ce type de productions que la coopérative Cérèsia, issue de la fusion d’Acolyance et Cerena, s’intéresse pour répondre aux attentes de certains de ses adhérents. « Ces cultures présentent un intérêt pour les agriculteurs dans un contexte de changement climatique, de volonté de moins dépendre de la chimie, de recherche de nouvelles têtes d’assolement et d’attrait pour l’agriculture de conservation, explique Valentin Seguin, responsable de mise en marché de la coopérative implantée en Champagne, Hauts-de-France et Seine-et-Marne. Le sarrasin constitue l’une des réponses à ces questions. C’est une culture pour laquelle nous avons des débouchés et qu’il est possible de produire avec un minimum de charges. »
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Opter pour des cultures à bas niveaux d’intrants
Cérèsia propose à ses adhérents toute une série de cultures peu gourmandes en phytos et en engrais, du sarrasin à l’avoine nue, en passant par les pois ou le tournesol.
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