Souvent, il existe deux niveaux de gestion de crise : sur le site pour gérer toutes les opérations (de lutte contre un incendie par exemple), et un deuxième, à distance, parfois au siège de l’entreprise. Cette crise en périphérie (nombreux appels téléphoniques des riverains, de la mairie, de la Dreal, de la préfecture, de la presse, des entreprises voisines…) ne doit pas gêner le site qui reste dans l’opérationnel. « La cellule de crise doit soulager à distance le lieu en question : prendre la main sur le téléphone du site, anticiper le communiqué de presse, rechercher les documents stratégiques pour aider à la bonne intervention des secours, vérifier que le site dispose de renforts sur chacun des six postes de la cellule de crise… », souligne Raphaël Susini, consultant métiers du grain à La Coopération agricole Solutions +.
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Agir pendant la crise

Tout a été fait pour réduire les risques. Pourtant, l’alerte retentit. Les secours sont prévenus, la cellule de crise est ouverte : place à l’action.
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