Depuis le 1er janvier 2021, tout opérateur agroalimentaire est censé avoir effectué un diagnostic gaspillage alimentaire de son activité, selon la loi Agec. Une disposition devant contribuer à l’objectif de réduire de moitié le gaspillage alimentaire (en regard du niveau de 2015) d’ici à 2030 dans les IAA et aussi à la production et en restauration commerciale et, d’ici à 2025, en distribution alimentaire et restauration collective. Cet objectif, affiché dans la loi Agec, avait été pour partie annoncé par le pacte national signé en 2013 entre l’État et les représentants de la chaîne alimentaire pour lutter contre le gaspillage alimentaire. Relayant ainsi une résolution européenne votée en 2012 pour réduire de moitié ce gaspillage à l’horizon 2025. Ce pacte a été suivi, en 2016, d’une première législation française sur le gaspillage alimentaire, la loi Garot, avec deux mesures fortes : l’obligation pour les GMS de plus de 400 m2 de donner les invendus alimentaires à une association d’aide alimentaire et l’interdiction de rendre impropres à la consommation des invendus encore consommables.
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La chasse au gaspi, pas à pas

L’objectif de réduire de moitié le gaspillage alimentaire en France d’ici à 2030 va-t-il être atteint ? Sans attendre, La Coopération agricole met tout en œuvre pour faire sa part.
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