
- L’unité de production comprend une zone de stockage des graines (à dr.), une tour de réception, d’élévation et de préparation des graines (au centre), un atelier de trituration (à g.) et une zone stockage de l’huile (à l’extrême gauche). © R. FOURREAUX

- Un impacteur permet de décortiquer les graines de colza et de tournesol qui viennent éclater contre les pales d’un cylindre en rotation. Le soja subit, lui, un épierrage puis un dépelliculage par un concasseur à cylindres. © R. FOURREAUX

- Les coques sont alors séparées des amandes par un système d’aspiration, broyées, puis pulsées vers des boisseaux d’expédition. © R. FOURREAUX

- Les graines décortiquées subissent une première pression mécanique à froid (selon un débit de 5 t/h) qui permet d’obtenir un pâton gras et de l’huile de première pression. Le soja part directement en cuisson afin d’éliminer les facteurs antinutritionnels. © R. FOURREAUX

- Alors que l’huile est homogénéisée et filtrée, les résidus de colza et tournesol issus de la première pression et le soja sont chauffés dans le cuiseur pour améliorer l’efficacité de la dernière pression mécanique. À l’intérieur, les couches de matières sont égalisées sur sept plateaux et chauffées à trois niveaux progressifs de température (70?°C, 90?°C, 115?°C). La matière passe ensuite dans une presse mécanique, à chaud cette fois-ci. © R. FOURREAUX

- Après le passage par les presses, les tourteaux sont refroidis, émottés, puis stockés dans des cases, en plaquettes ou en granulés. © R. FOURREAUX

- De leur côté, les huiles sont brassées et homogénéisées dans des cuves afin de garantir une filtration régulière et une qualité uniforme. © R. FOURREAUX

- L’usine de trituration Ucal Stockage et Protéines est la seule en France à décortiquer le colza, ce qui permet d’obtenir des tourteaux de colza high pro et des huiles de première ou de deuxième pression. © R. FOURREAUX
