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Reine de Dijon forte en relocalisation

Pour réduire son empreinte carbone, le moutardier Reine de Dijon, à Fleurey-sur-Ouche (Côte-d'Or), mise sur les graines locales. La récolte de 2024 devrait lui permettre de produire la moutarde de 2025 avec 50 % d'approvisionnement français.
Pour réduire son empreinte carbone, le moutardier Reine de Dijon, à Fleurey-sur-Ouche (Côte-d'Or), mise sur les graines locales. La récolte de 2024 devrait lui permettre de produire la moutarde de 2025 avec 50 % d'approvisionnement français. ©Reine de Dijon

Pour sa production de moutarde 2025, Reine de Dijon prévoit d’atteindre un approvisionnement en graines françaises de 50 %, le double d’il y a deux ans.

Basé à Fleurey-sur-Ouche (Côte-d’Or), Reine de Dijon est le troisième fabricant français de moutarde. Depuis 2015, à l’occasion de son 175e anniversaire, Reine de Dijon a choisi de produire ses moutardes exclusivement à partir de graines 100 % françaises. Sa propre gamme représente 2 000 tonnes. En parallèle, le moutardier produit 16 000 t de condiments pour d’autres marques avec des graines majoritairement canadiennes.

Moins d’importations canadiennes

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