Contenu réservé

Pourquoi le lupin veut conquérir les champs

Alors que la demande en alimentation humaine croît, et que les perspectives pour nourrir les animaux sont séduisantes, le projet Arsene, porté par Terrena, veut lever les verrous de la culture du lupin, au champ et dans les usines.

1 Des maillons alignés

Doté de 3 M€, dont 1,75 M€ financé par la BPI, Arsene vise à développer la culture du lupin. Chef de file du projet, Terrena y est représenté à plusieurs titres : Cérience pour la génétique, la coopérative pour la production et la collecte, Inveja pour l’agroalimentaire, et la production d’aliments pour animaux. Sont également associés Terres Inovia, Idele, Inrae et Biolie (cosmétique). « La chance d’Arsene, c’est d’aligner tous les maillons de la filière pour lever les verrous », appuie Denis David, directeur adjoint de Cérience, leader en matière de génétique lupin, et chef de projet Arsene. Le lupin est aujourd’hui principalement cultivé dans l’ouest de la France, le groupe coopératif ligérien étant le plus gros producteur. « À terme, nous visons 12 500 ha de lupin sur Terrena, soit la moitié des 25 000 ha projetés au niveau national », chiffre Denis David.

2 L’itinéraire technique progresse

555

Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution

Si vous êtes abonné, cliquez ici pour vous connecter et poursuivre la lecture
27 %

Vous avez lu 27 % de l'article

Poursuivez la lecture de cet article

en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
  • Accédez à nos articles
  • Profitez du contenu de notre application
  • Recevez nos newsletters
  • Recevez chez vous 1 numéro de notre revue

Sur le même sujet

Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre