Contenu réservé

Fertilisation organique : un changement de pratiques est-il possible ?

De gauche à droite : Baudoin Favreaux, DG d'Antedis, Philippe Collin, éleveur bio en Haute-Marne, Marie-Laure Hustache, animatrice, Christophe Richou, responsable développement et marketing d'Agronutrition, et Jean-François Barot, coordinateur technique chez Soufflet agriculture, au colloque organisé par Afaïa, mardi 19 novembre, à Paris.
De gauche à droite : Baudoin Favreaux, DG d'Antedis, Philippe Collin, éleveur bio en Haute-Marne, Marie-Laure Hustache, animatrice, Christophe Richou, responsable développement et marketing d'Agronutrition, et Jean-François Barot, coordinateur technique chez Soufflet agriculture, au colloque organisé par Afaïa, mardi 19 novembre, à Paris. © M. Hilary

À l’occasion de son colloque, organisé mardi 19 novembre à Paris, Afaïa a organisé une table ronde autour de l’évolution des pratiques de fertilisation. Le mot d’ordre ? Privilégier le collectif.

« Cette année, nous avons souhaité ouvrir les discussions vers les agriculteurs, car ce sont eux les premiers à tester nos solutions, à aller vers le changement de pratiques », présente Laetitia Fourié, présidente du syndicat Afaïa représentant les fournisseurs de fertilisants organiques et de biostimulants, à l’occasion de son colloque qui s’est déroulé à Paris, mardi 19 novembre.

734

Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution

Si vous êtes abonné, cliquez ici pour vous connecter et poursuivre la lecture
8 %

Vous avez lu 8 % de l'article

Poursuivez la lecture de cet article

en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
  • Accédez à nos articles
  • Profitez du contenu de notre application
  • Recevez nos newsletters
  • Recevez chez vous 1 numéro de notre revue

Sur le même sujet

Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre