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Garder un lien entre les deux activités

Malgré la séparation, il est possible, pour le moment, de garder un lien entre les deux activités, dans le respect de la réglementation.

«Economiquement, ce n’est pas viable de ne choisir que le conseil ou la vente, estime Bertrand Soviche, consultant. Dans les deux cas, on perd de l’argent. Il faut garder les deux. En sachant que si l’on n’atteint pas les objectifs fixés en matière de réduction des phytos, il y aura une nouvelle mesure. » Garder les deux certes, mais dans le cadre imposé par la loi, en ne perdant pas de vue que tous les textes ne sont pas parus, et qu’ils peuvent changer la donne. Dans son guide, La Coopération agricole a évoqué les options possibles, auxquelles réfléchissent aussi des négoces et les consultants qui accompagnent la distribution. Le maintien d’un lien capitalistique est autorisé, mais reste minoritaire et sans réel pouvoir décisionnel. Une entreprise ayant choisi le conseil ne peut avoir plus de 10 % de parts dans une société de vente qui, elle-même, voit le cumul des participations plafonné à 32 %, et vice et versa (infographie).

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