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La tentation de l’agrément vente

La mise en œuvre pratique de l’agrément vente pose beaucoup de questions, entre articulation avec les CEPP et rôle des équipes pour informer les agriculteurs sur les produits phytosanitaires.

Au vu de la contribution à la marge, bon nombre de distributeurs réfléchissent à se tourner vers la vente. Et pour les entreprises réalisant de l’application de produits phytos en prestation de service, notamment pour les semences, choisir le conseil signifierait y renoncer aussi, l’agrément application étant incompatible avec celui du conseil. Pour résumer, pour une coopérative ou un négoce détenteur d’un agrément vente après le 1er janvier 2021, il est impossible de faire du conseil stratégique ou du conseil à l’utilisation de produits phytosanitaires. En revanche, il est possible de continuer de conseiller l’agriculteur sur ses choix d’engrais, de biostimulants, de semences, ou sur ses rotations et ses pratiques culturales. Sur le terrain, les équipes s’interrogent sur la cohérence du conseil, s’il est possible de parler de tout, sauf de produits phytos, quand la réduction de leur utilisation doit être pensée dans une approche globale.

La fin des groupes 30 000 ?

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