Le rapport de la Cour des comptes pointant une « nécessaire » réduction des cheptels bovins pour répondre à l’objectif de la neutralité carbone, au motif que l’élevage bovin représente 11,8 % des émissions de gaz à effet de serre, a enflammé le monde agricole en mai dernier. Cela car la décapitalisation est déjà engagée et qu’elle provoque une augmentation des importations, puisque la consommation ne baisse pas mais aussi car la décarbonation n’a pas besoin de décapitalisation. Ainsi, en début d’année, le groupe Bel et l’Organisation de production de ses éleveurs, APBO (Association des producteurs Bel de l’Ouest), ont testé en grandeur nature l’impact d’un additif, le Bovaer de DSM-Firmenich, avec l’Idele. Le test s’inscrit dans la logique d’une filière laitière bas carbone amorcée en 2018 aux côtés du pâturage et de l’agroforesterie.
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Décarboner sans décapitaliser, c’est possible

La nutrition animale a des solutions fonctionnelles pour décarboner les élevages. Afin d’atteindre les objectifs de la stratégie nationale bas carbone, il n’est donc pas nécessaire de décapitaliser, au contraire.
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