Contenu réservé

Pourquoi le non-OGM va dominer le secteur de la nutrition animale française ?

Le non-OGM représente 15 % des aliments pour animaux produits en France (25 % en Bretagne), auxquels il faut ajouter 3 % de bio. Selon Terres Univia, ces segments alternatifs devraient peser pour la moitié de la production française d’ici dix ans.

1La pression des laiteries

Dès 1997, juste après l’arrivée du premier bateau de soja OGM dans l’UE, les laiteries autrichiennes ont mis en place l’alimentation sans OGM des vaches, et elles ont fait tache d’huile en Allemagne. En France, dans le sillage du bio, de nombreuses AOC avaient déjà interdit les OGM, mais indépendamment les unes des autres, alors que cela pourrait se généraliser. La baisse de la consommation de lait liquide pousse par ailleurs les marques à chercher une différenciation sur l’alimentation des animaux via le pâturage et la nature des fourrages (lait de foin), mais aussi à travers les protéines non OGM.

2Une histoire déjà longue

516

Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution

Si vous êtes abonné, cliquez ici pour vous connecter et poursuivre la lecture
21 %

Vous avez lu 21 % de l'article

Poursuivez la lecture de cet article

en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
  • Accédez à nos articles
  • Profitez du contenu de notre application
  • Recevez nos newsletters
  • Recevez chez vous 1 numéro de notre revue

Sur le même sujet

Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre